Le manque de sommeil nuit-il à votre organisation ?
L'impact
Il existe cinq coûts importants liés au sommeil qui nuisent à votre organisation. Pour examiner chacun d’eux, nous partirons de l’hypothèse que vos employés gagnent un salaire moyen de 80000 dollars par an1.
1. Augmentation des pertes de productivité
Les employés qui dorment mal s’absentent du travail jusqu’à 3 fois plus souvent que les bons
dormeurs, et leur productivité diminue jusqu’à 46 jours par an1.
Plus de la moitié de la population (51%) souffre d’un mauvais sommeil dans une certaine mesure3, et 19%2 présentent des symptômes d’insomnie chronique.
Chez les personnes qui occupent des postes de nuit ou qui travaillent par quarts, le taux d’insomnie chronique peut être deux fois plus élevé.
Quelles que soient les activités de votre organisation, les problèmes liés au sommeil nuisent à la productivité de façon bien réelle, mais souvent très subtile.
2. Hausse de la fréquence et du coût des congésd’invalidité
Les personnes qui dorment mal sont 4,6 fois plus susceptibles de prendre un congé d’invalidité que celles qui dorment bien4. Il n’est donc pas étonnant que 33% des personnes qui demandent un congé d’invalidité souffrent d’insomnie chronique4.
De nombreuses études ont montré qu’un mauvais sommeil est fortement associé à des problèmes de santé mentale, dont l’anxiété et la dépression5.
3. Augmentation du coût de remplacement
Les taux élevés d’absentéisme et de congés d’invalidité liés au sommeil entraînent également une augmentation du coût de remplacement lorsque les fonctions l’exigent.
4. Hausse de la fréquence et du coût des accidents.
Le manque de sommeil est responsable de près de 25% du coût total associé aux accidents et aux erreurs qui se produisent au travail6. Une période d’éveil de 17 heures correspond à un taux d’alcoolémie de 0,05% tandis qu’une période d’éveil de 24 heures correspond à un taux d’alcoolémie de 0,10% (supérieur à la limite légale de 0,08 %)7.
Un mauvais sommeil génère une variété de symptômes qui ont un effet insidieux sur la
sécurité. On pense notamment aux difficultés de concentration et d’attention ainsi qu’aux mauvaises décisions.
5. Coût des médicaments sur ordonnance
En moyenne, environ 10% des travailleurs et travailleuse sont besoin de médicaments prescrits pour dormir8. Chez les personnes qui occupent des postes de nuit ou qui travaillent par quarts, le taux de prescription de somnifères peut être beaucoup plus élevé9.
Le coût du manque de sommeil pour l’ensemble de la population active
La solution HALEO
- Plus de 85 %* des patients d’HALEO suivent leur traitement jusqu’au bout, comparativement à moins de 50 % pour les thérapies cognitivo-comportementales (TCC) et d’autres solutions autoguidées dans des environnements réels10 et à environ 70 %11 pour les interventions traditionnelles dirigées par un thérapeute.
- Le taux de satisfaction des patients d’HALEO est de 90%*.
- 94%* des patients qui complètent le programme d’HALEO ne présentent plus de symptômes cliniquement significatifs après 5 semaines.
La solution HALEO est conçue pour que les employeurs économisent de l’argent en gardant leurs employés au travail, en limitant les blessures et les erreurs, et en favorisant leur concentration.
Investir dans vos employés
Lorsque nous mettons en œuvre la solution HALEO dans une organisation, nous travaillons
avec nos clients pour maximiser le taux d’engagement du personnel.
De leur effectif est mobilisé
Grâce à une communication claire et à une sensibilisation aux avantages et à l’importance d’un bon sommeil, de nombreux clients d’HALEO réussissent à mobiliser plus de 25% de leur personnel.
Rendement de l’investissement
De nombreux clients qui investissent dans une solution HALEO obtiennent un rendement 10 fois supérieur au coût de la solution.
Un meilleur sommeil améliore la santé mentale
Concrètement, de nombreux clients d’HALEO atteignent un taux d’engagement de 25% ou plus. En traitant le sommeil, nous ouvrons la voie à l’amélioration de la santé et du bien-être des employés en réduisant considérablement leur stress ainsi que leurs symptômes de dépression
et d’anxiété.
Références
2 Morin, C. M., Vézina-Im, L. A., Ivers, H., Micoulaud-Franchi, J. A., Philip, P., Lamy, M., Savard, J. (janv. 2022). «Prevalent, incident, and persistent insomnia in a population-based cohort tested before (2018) and during the first-wave of COVID-19 pandemic (2020)», Sleep, 45(1):zsab258. doi : 10.1093/sleep/
zsab258. PMID : 34698868; PMCID : PMC8574325.
6 Shahly, V., Berglund, P. A., Coulouvrat, C., Fitzgerald, T., Hajak, G., Roth, T., Shillington, A. C., Stephenson, J. J., Walsh, J. K., Kessler, R. C. (oct. 2012). «The associations of insomnia with costly workplace accidents and errors: results from the America Insomnia Survey», Archives of General Psychiatry,
69(10):1054-1063. doi : 10.1001/ archgenpsychiatry.2011.2188. PMID : 23026955.
7 Arnedt, J. T., Owens, J., Crouch, M., Stahl, J., Carskadon, M. A. (2005). « Neurobehavioral performance of residents after heavy night call vs after alcohol ingestion », JAMA, 294:1025-1033. Dawson, D. et Reid, K. (1997). «Fatigue, alcohol and performance impairment», Nature, 388:235. Williamson, A. M. et Feyer, A. M. (2000). « Moderate sleep deprivation produces impairments in cognitive and motor performance equivalent
to legally prescribed levels of alcohol intoxication », Occupational and Environmental Medicine, 57:649-655.
8 National Center for Health Statistics (2020). National Health Interview Survey.
9 Tucker, P., Härmä, M., Ojajärvi, A., Kivimäki, M., Leineweber, C., Oksanen, T., Salo, P., Vahtera, J. (déc. 2021). « Association of rotating shift work schedules and the use of prescribed sleep medication: A prospective cohort study », Journal of Sleep Research, 30(6):e13349. doi : 10.1111/jsr.13349. Epub 14 juin 2021. PMID : 34128266.
10 L’étude porte sur la TCC en face à face (et non sur l’insomnie) et nous avons
un taux d’achèvement de 85 % (Fernandez et coll., 2015). Ritterband, L. M., Thorndike, F. P., Morin, C. M., Gerwien, R., Enman, N. M., Xiong, R., Luderer, H. F., Edington, S., Braun, S., Maricich, Y.A. (juin 2022). «Real-world evidence from users of a behavioral digital therapeutic for chronic insomnia», Behaviour Research and Therapy, 153:104084. doi : 10.1016/j.brat.2022.104084. Epub 1er avril 2022. PMID : 35405424.
11 Ong, J. C., Kuo, T. F., Manber, R. (avr. 2008). « Who is at risk for dropout from group cognitive- behavior therapy for insomnia? », Journal of Psychosomatic Research, 64(4):419-425. doi : 10.1016/j.jpsychores.2007.10.009. PMID : 18374742; PMCID: PMC2435302.